Dans sa modeste brume, robe de l'automne,
Il ôte lentement son manteau rouge flamme,
Il se tait ils s'étend sans éloge ni blâme,
Un passage à l'hiver dont la beauté m'étonne.
Entends-tu, là au loin, le printemps qui chantonne ?
Amenant avec lui, les sourires des femmes
Et d'ici, de là bas, on ressent qui émane
La chaleur de l'été et le vent qui bourdonne.
Et pourtant de ce jour on ne voit que le vide,
Ni tornade ni gel, ni glacial ni aride
Juste un feu assoupi entouré par des cendres,
Et de ces douze mois et de tous ces matins
Je me rappellerai de ce vase en étain,
Je me rappellerai de ce premier décembre.
Il ôte lentement son manteau rouge flamme,
Il se tait ils s'étend sans éloge ni blâme,
Un passage à l'hiver dont la beauté m'étonne.
Entends-tu, là au loin, le printemps qui chantonne ?
Amenant avec lui, les sourires des femmes
Et d'ici, de là bas, on ressent qui émane
La chaleur de l'été et le vent qui bourdonne.
Et pourtant de ce jour on ne voit que le vide,
Ni tornade ni gel, ni glacial ni aride
Juste un feu assoupi entouré par des cendres,
Et de ces douze mois et de tous ces matins
Je me rappellerai de ce vase en étain,
Je me rappellerai de ce premier décembre.