Aux soupirs tremblants de peur
Aux écluses de nos âmes,
Aux effluves de nos femmes,
Son coeur tremble et ses yeux pleurent,
Ses mains ronflent de lenteur,
Et se creusent sous cet or,
Il se plie, se tord, meurt, dort,
Et se chauffe dans la sueur.
Il se bat contre l'horreur,
Et l'accable d'espérance
Pour en faire une faïence,
Ou la bague d'un conteur,
Il façonne son bonheur,
Et endosse le fardeau,
De supporter sur son dos
Les mots courts et les moqueurs.
L'arme au corps et l'orme à coeur,
La nature l'aide et l'inspire,
Il s'étonne face au pire,
Et chantonne ses erreurs.
Aux soupirs tremblants de peur
Aux écluses de nos âmes,
Aux effluves de nos femmes,
Son coeur tremble et ses yeux pleurent
Aux écluses de nos âmes,
Aux effluves de nos femmes,
Son coeur tremble et ses yeux pleurent,
Ses mains ronflent de lenteur,
Et se creusent sous cet or,
Il se plie, se tord, meurt, dort,
Et se chauffe dans la sueur.
Il se bat contre l'horreur,
Et l'accable d'espérance
Pour en faire une faïence,
Ou la bague d'un conteur,
Il façonne son bonheur,
Et endosse le fardeau,
De supporter sur son dos
Les mots courts et les moqueurs.
L'arme au corps et l'orme à coeur,
La nature l'aide et l'inspire,
Il s'étonne face au pire,
Et chantonne ses erreurs.
Aux soupirs tremblants de peur
Aux écluses de nos âmes,
Aux effluves de nos femmes,
Son coeur tremble et ses yeux pleurent