C'est au bord de l'eau de la Loire,
Que nos esprits peuvent s'enfuir,
D'une tristesse d'une peine,
Que le courant au loin emmène,
Sur un radeau ou un navire,
Qui nous redonnera l'espoir.
C'est du poison que nous fait boire,
Orphée et son joyau, sa lyre,
Et le bonheur qu'il nous amène,
Il se transformera en haine,
Si vous niez qu'il faut s'enfuir,
C'est la mort qui vous le fait voir,
Un regret peut parfois faire de
vos jours heureux un long sursis,
Un regard dans les yeux d'Alice,
L'attente vaine d'un supplice,
Quand passe dans la rue Lucie,
L'autre a disparu de vos yeux.
On a pleuré de ces envieux,
Qui nous ont rendu indécis,
L'hesitation nous rendait triste,
Choisir l'argent ou l'améthyste,
Deux innocentes à merci,
Un fantasme qui se fait vieux.
Que nos esprits peuvent s'enfuir,
D'une tristesse d'une peine,
Que le courant au loin emmène,
Sur un radeau ou un navire,
Qui nous redonnera l'espoir.
C'est du poison que nous fait boire,
Orphée et son joyau, sa lyre,
Et le bonheur qu'il nous amène,
Il se transformera en haine,
Si vous niez qu'il faut s'enfuir,
C'est la mort qui vous le fait voir,
Un regret peut parfois faire de
vos jours heureux un long sursis,
Un regard dans les yeux d'Alice,
L'attente vaine d'un supplice,
Quand passe dans la rue Lucie,
L'autre a disparu de vos yeux.
On a pleuré de ces envieux,
Qui nous ont rendu indécis,
L'hesitation nous rendait triste,
Choisir l'argent ou l'améthyste,
Deux innocentes à merci,
Un fantasme qui se fait vieux.